Ah Miliana! Reverrais-je un jour ton beau visage ? Cette beauté qui hante mes souvenirs ? Quelqu'un pourra-t-i1 te redonner ton aspect, ton cachet ? Petite ville de mon enfance, je souffre pour toi ! Ah ! si je pouvais faire quelque chose, je le (...)
Et oui ! Pour le berceau de ma jeunesse, celui de mes parents de mes ancêtres que ne ferais-je pas ? Mais je n'ai aucun moyen, aucun pouvoir hélas ! Je me réfugie dans le passé en me remémorant les souvenirs d'antan. Et les images défilent devant (...)
Août 1961, vacances d'été. Mon mari nous avait accompagnés, moi et les enfants, chez mes parents à Miliana, pour y passer quelques jours, et, travail oblige, il repartit seul le lendemain à Mostaganem, où nous résidions à l'époque.
Le lendemain de (...)
Le lendemain de notre arrivée à Miliana, ma mère, Zahia Bouzar, reçut la visites de parents : Madame Barça et ses filles Malika, Atika et Hafida, qui étaient d'ardentes mounadhilate. Visite impromptue, quelque peu étrange. J'eus le pressentiment (...)