Des économistes universitaires ont récemment exprimé dans des interviews accordées dans le supplément économique d'El Watan du 1er octobre 2012 leurs points de vue sur la conduite de la politique monétaire par la Banque d'Algérie et ses (...)
Selon ces points de vue, la Banque d'Algérie ferait «une erreur de diagnostic» concernant les causes de l'inflation, en recrudescence au cours des huit premiers mois de l'année 2012, et utiliserait donc des instruments inappropriés de politique (...)
Les taux de croissance économique enregistrés par notre économie en 2002 et 2003 (respectivement 4,1% et 6.,8%) et celui escompté en 2004, de l'ordre de 6 à 7%, s'ils constituent des sujets de satisfaction pour ceux qui ont en charge (...)
Elle ne résulte pas en effet d'une dynamique propre aux différents secteurs d'activité (à l'exception comme on le verra des secteurs des hydrocarbures et de l'agriculture), mais d'une très forte augmentation des dépenses publiques d'équipement liée (...)