Par : Nour-Eddine Saoudi. Archéologue, musicologue, musicien
Rares sont dans notre pays, l'Algérie, les hommes de culture qui se sont battus par la plume et le plectre pour défendre et donner de la visibilité à l'art dont ils étaient porteurs.
Dans (...)
Rares sont dans notre pays, l'Algérie, les hommes de culture qui se sont battus par la plume et le plectre pour défendre et donner de la visibilité à l'art dont ils étaient porteurs.
Dans cette catégorie « d'êtres de lumière », comme il me plait de (...)
Cet érudit universaliste a redécouvert la musique andalouse et contribué à la sauver.
Dans la discrétion qui était la sienne, Mahieddine Kamel Malti vient de nous quitter, et, selon l'expression consacrée, de tirer sa révérence. Je m'étais promis (...)
Dans la discrétion qui était la sienne, Mahieddine Kamel Malti vient de nous quitter, et, selon l'expression consacrée, de tirer sa révérence. Je m'étais promis d'écrire à sa mémoire. Devant le riche itinéraire qui a été le sien, je me suis, dans un (...)
Hommage en forme de lettre à l'historien et écrivain, comme à l'homme de bien.
Tu viens de nous quitter, mais dorénavant, je ne veux me souvenir que des bonnes choses, car nous n'avons que trop souffert, tu n'as que trop souffert, en silence. Ton (...)
Tu viens de nous quitter, mais dorénavant, je ne veux me souvenir que des bonnes choses, car nous n'avons que trop souffert, tu n'as que trop souffert, en silence. Ton silence était un cri, plus fort encore que toutes ces clameurs qui glorifient (...)
Sous le titre “Que se passe-t-il au département musique ?”, votre journal, dans sa livraison du 22 février 2003, s'interroge sur la non-programmation de certains artistes qui n'auraient ainsi fait l'objet d'aucune sollicitation. Beihdja Rahal et (...)