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Le parlement interroge le ministère des affaires étrangères sur la protection des ressortissants Le dossier des détenus en Irak et des marins enlevés en Somalie soulevés
Le député Mohamed Hedibi a adressé une question orale au ministre des affaires étrangères Mourad Medelci sur la mauvaise prise en charge par la diplomatie algérienne de la communauté et des ressortissants à l'étranger. La question a compris des interrogations sur « la situation dramatique de nombreux ressortissants algériens qui soulèvement beaucoup d'interrogations ». Le parlementaire d'Ennahda, M Hedibi a évoqué « le dossier des marins algériens enlevés par des pirates, et le dossier des algériens détenus injustement en Irak, qui lancent un appel pour leur libération sans que les autorités officielles ne réagissent », « ainsi que les appels au secours lancés par des détenus algériens de la prison de Slimania en Irak, que le prisonnier algérien Mohamed Ouabed a représenté en appelant depuis la prison et en appelant les députés à intervenir auprès des autorités algériennes pour prendre connaissance de leur situation, ils ont été emprisonnés suite à un jugement injuste conformément à l'article dix de la loi irakienne relatif à l'entrée sans visa, puisqu'il auraient du être condamner à six mois seulement, mais ont été condamnés à 15 ans de prison ferme sans base juridique ». Il est précisé dans la lettre que « les autorités irakiennes ont refusé les appels, un avocat ne leur a pas été fourni, et ils ont été victimes de tortures afin de leur soutirer des aveux par la force, avec de l'électricité, des coups et les menaçant de viol, et de les transférer vers un des pays arabes voisins pour être interroger et avouer des choses avec lesquelles ils n'ont rien à voir », indiquant que « malgré le temps qu'ils ont passé en détention ils n'ont pas été gracié ou libérer alors que des accusés de pays voisins accusés de la même chose ont été graciés, mais ils sont aujourd'hui l'objet d'un chantage de la part de l'occupation américaine et de ses agents afin de les exploiter dans des opérations suspectes, contre leur libération ou leur grâce, mais ils refusent cela et persistent dans leur demande à rentrer en Algérie ». Le député a assuré que les autorités algériennes « n'ont pas réagit pour protéger leurs ressortissants ou du moins prendre connaissance des détails du dossier et de la véracité des accusations dont ils font l'objet, aucun responsable consulaire ou employés de nos représentations à l'étranger, en dépit du fait que la loi est claire au sujet de la nécessité du suivi et d'une enquête sur la disponibilité des conditions légales et des droits judiciaires pour un jugement des accusés ce qui n'a pas été fait même si c'est le rôle même de la diplomatie de protéger et de surveiller leurs ressortissants contre tout dépassement qui pourrait survenir dans un pays hôte.