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Madrid négocie avec l'Algérie, la Mauritanie et le Mali pour une intervention au sol pour lutter contre les enlèvements La presse espagnole rapporte les projets du ministère de la défense
Le gouvernement espagnol négocie pour une intervention de forces terrestres sur le sol mauritanien qui aurait pour mission de rechercher « rapidement » les kidnappeurs présumés de ses ressortissants, des sources espagnoles ont déclaré que les ministères espagnols de la défense et des affaires étrangères avaient entamé des entretiens avec les gouvernements de la Mauritanie, de l'Algérie et du Mali, entre autres pays dans à ce sujet. Des sources diplomatiques ont souligné que le gouvernement espagnol négocie depuis plusieurs jours avec son homologue mauritanienne pour l'envoi de forces terrestres espagnoles sur le sol mauritanien dans le cas ou des ressortissants espagnols seraient enlevés en Mauritanie, l'agence de presse indépendante mauritanienne a rapporté du quotidien espagnol « El Confidential »que Madrid souhaite par cette mesure élargir ses possibilités pour faire face aux cas d'enlèvements qui ont lieu dans la région et qui vise des ressortissants espagnols. Le journal a rapporté de sources diplomatiques et militaires que la loi espagnole empêche ce genre d'intervention militaire pour libérer les otages. Le gouvernement espagnol veut selon le quotidien avoir toutes les cartes pour faire face à l'enlèvement de ses ressortissants dans la région. La quotidien a précisé que les ministères espagnols de ma défense et des affaires étrangères avaient entrepris des négociations avec les gouvernements mauritanien, algérien, et malien, entre autres pays et que ces négociations déboucheraient sur le déploiement de forces spéciales à l'instar de qu'ont fait la France, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne dans la région. Cette étape ne semble pas devoir se concrétiser avec les pays sur le terrain, l'Algérie, la Mauritanie, le Mali et le Niger, puisque le rassemblement des pays du sahel s'est essentiellement formée éventuelle forme d'intervention militaire dans la région, et a permis aux pays du groupe de se charger eux-mêmes de l'aspect sécuritaire, la source espagnole a inscrit cette étape parmi des plans qui se sont imposés après l'enlèvement par Al-Qaida de deux ressortissants espagnols à Tindouf dans le camp « Rabuni » près des camps de réfugiés sahraouis.