L'Algérie a refusé à des drones français et américains de survoler le Sahara algérien dans le cadre de la lutte contre le trafic d'armes en provenance de Libye et le contrôle des groupes terroristes d'Aqmi au nord du Mali, et a décidé de contrôler la région avec des appareils du ministère de la défense. Des unités de reconnaissance aériennes gèrent une base de drones français et américains dans un endroit secret dans le désert libyen. Selon une source bien informée proche du dossier sur le terrorisme au sahel, les forces aériennes françaises et américaines basées dans un lieu dans l'ouest du désert libyen, dont on pense qu'il est situé au sud de Katroun, ont participé à pister les anciens dirigeants militaires du régime du colonel Mouammar Kadhafi. Les Etats-Unis et la France auraient selon une source bien informée, envoyé des unités de contrôle et de reconnaissance aérienne qui auraient participé aux opérations militaires pour faire tomber le régime Kadhafi, pour contrôler des régions désertiques, principalement la frontière nigéro-libyenne suspectées d'état le principale passage d'armes de Libye, et le désert rocheux entre le Mali et le Niger et qui s'étend entre Adghagh et Ifoghas jusqu'à la ville nigérienne d'Arlit surnommée la Tora Bora du Sahara, et le désert d'El Djouf et Arg Chech entre la Mauritanie et le Mali. Les informations disponibles indiquent que les avions de reconnaissance américains travaillent à ratisser ces régions en permanence dans le cadre de l'enquête sur le détournement d'armes libyennes. Nos sources indiquent que les forces aériennes françaises ont renforcé les avions de reconnaissance basées dans le grand désert du Tchad et de Libye par des avions longue distance de type fabriqué par des la société aérospatiale israélienne et qui sont utilisés par les forces aériennes françaises, la portée de portée de ces avions est de 4000km ils peuvent donc couvrir le grand désert dans des missions de ratissage et contrôle aérien.