Maitre Zahia Mokhtari, avocate désigné par le père de Mohammed Merah a révélé être en possession d'enregistrement vidéo d'une durée de 20 minutes, dans lequel apparaît Mohammed Merah, entrain de se disputer avec les services de sécurité français en leu disant : « pourquoi me tuer je suis innocent ». Il a, notamment, parlé de l'implication d'un responsable du service de renseignements français, ainsi que deux autres informateurs dans une tentative de sa liquidation de Mohammed Merah, pour des raisons que l'on saura une fois le dossier de poursuite en justice de l'Etat Français accompli et déposé près la justice française. L'Avocate algérienne Mme Zahia Mokhtari, chargée par le père de Mohammed Merah d'assurer la défense de son fils, abattu par les forces de sécurité français, après l'avoir accusé d'être l'auteur des attentats de Toulouse, a révélé dans une conférence de presse qu'elle a animée dans son bureau à Alger, être en possession de nouvelles preuves, dont un enregistrement vidéo, d'une durée de 20 minutes, prouvant l'implication des services de renseignement français dans la liquidation de Mohammed Merah. Dans cet enregistrement Mohammed Merah s'adressait à un officier des renseignements français en lui disant : « pourquoi me tuer, je suis innocent ». Maitre Zahia Mokhtari a révélé, dans une conférence de presse qu'elle vient d'animer dans son bureau à Beraki à Alger que l'enregistrement vidéo a prouvé l'implication de trois personnes dont un responsable du service des renseignements français et deux autres de nationalités différentes. Elle a, également, révélé que Mohammed Merah accusé d'être l'auteur des attentats de Toulouse, a été manipulé on a introduit son nom dans cette affaire. Elle a, notamment, promis d'apporter les preuves en coordination avec des parties françaises de défense des Droits de l'Homme. A la question d'El Khabar sur les armes que les services de sécurité français ont retrouvées dans l'appartement de Merah, la défense de Merah a indiqué qu'elles sont des preuves fabriquées de toutes pièces. Elle en est parti très loin dans son plaidoyer en indiquant qu'il n'y a pas eu échange de tirs des deux côtés, et qu'uniquement les forces d'intervention d'élite qui tiraient en direction de l'appartement de Merah.