Les artisans se préparent pour le salon de Biskra C'est dans la villa Angelvy de Tipaza que la Chambre des arts et métiers (CAM) de Tipaza avait réuni les jeunes stagiaires des CFPA de Gouraya, Koléa, Fouka, Tipaza, les associations de Koléa, Douaouda, Sidi Ghilès et quelques artisans. Cette rencontre rentre dans le cadre de la participation des artisans de la wilaya de Tipaza au Salon national de l'artisanat, qui aura lieu du 7 au 9 novembre à Biskra. L'exposition à la villa Angelvy de Tipaza aura permis aux artisans de mettre les dernières touches avant le Salon national de Biskra. La vannerie, la sérigraphie sur cuir, la photographie, la pâtisserie occidentale et orientale, la céramique, la broderie, les techniques du dessin sur verre, la pierre taillée, la peinture sur soie, telles étaient les spécialités mises en relief lors de l'exposition à la villa Angelvy. Cette manifestation s'est déroulée dans l'indifférence, bien qu'un certain public ait effectué un détour pour encourager les artisans avant de rallier Biskra. Enfin une gare routière Il aura fallu attendre 2008 pour voir le chef-lieu de la wilaya pourvu d'une gare routière de voyageurs. Cette infrastructure du secteur des transports a été érigée sur une superficie de 3 ha. L'aménagement de la gare routière aura coûté 30 millions de dinars. L'adjudication s'est avérée infructueuse. La mise à prix de cette gare routière, qui se trouve à proximité du stade communal de Tipaza, a été arrêtée à 2 millions de dinars. Elle desservira toutes les lignes qui relient Tipaza au reste des wilayas environnantes et le transport urbain. Les retards de la radio locale Le manque de rigueur dans le suivi du projet relatif à la construction de la station radio locale de Tipaza a entraîné non seulement un retard dans son achèvement, pis encore, des surcoûts que le chef de l'exécutif de la wilaya a jugé inacceptables. En effet, l'autorisation programme (AP) allouée pour cette station radio locale était de 70,2 millions de dinars. La réévaluation et les réajustements de son financement n'ont pas été arrêtés. Selon le bureau d'études, une enveloppe financière de 40 millions de dinars est nécessaire pour continuer les travaux. L'équipement n'est pas inclus dans ce montant. Face à cette situation confuse, le wali a décidé de la création d'une cellule pour revoir les situations. « Seule une expertise déterminera la valeur réelle des travaux réalisés dans ce projet », a déclaré le wali.