Dans une pétition adressée le 11 janvier dernier aux autorités locales, les habitants de la rue Jugurtha, située au cœur de la ville de Guelma, expriment leur colère quant à la dégradation de l'environnement dans lequel ils vivent depuis déjà quelque temps. De ce fait, les services de l'Epdemia avaient défoncé, il y a presque une année, la chaussée de cette rue, qui désormais ne porte pas dignement sa dénomination, pour une affaire de conduite, et depuis ils l'ont laissée en l'état. La nuit, il n'y a pas d'éclairage public, donc moins de sécurité et puis la fuite de la canalisation d'assainissement cause un énorme risque pour la santé des riverains. Il en est plus ou moins de même pour la rue Mohamed Khemisti qui coupe la rue Jugurtha et, en vérité, pour plusieurs rues. Qui aurait dit qu'un jour la belle ville de Guelma connaîtrait une si mauvaise gestion, que son centre-ville serait crevassé, plongé dans le noir et le comble, dégagerait des odeurs nauséabondes ?