Secteur à forte valeur ajoutée, il continue de faire l'objet de nombreuses convoitises et est la proie à une importante spéculation qui met en danger, non seulement la santé des consommateurs algériens mais également celle du Trésor public. La facture des importations de médicament devra frôler cette année la bagatelle d'un milliard de dollars. Une facture très salée pour un pays qui vise la réduction de ses dépenses sociales à travers l'encouragement de l'investissement productif.