En réaction aux propos calomnieux et attentatoires à l'intégrité de certains délégués des archs et membres de la délégation proférés par de soi-disant délégués antidialoguistes venus de Tizi Ouzou, Béjaïa, Boumerdès et Bouira lors d'une conférence de presse et répercutés par votre journal dans son édition du 19 janvier 2005, nous vous prions de publier cette mise au point en vertu de notre droit de réponse. Truffées de contrevérités éhontées et empreintes d'une absurdité rédhibitoire, les assertions assénées par ces « militants électoralistes » et notamment le sieur Rabah Boucetta, et qui nous accusent d'être des « vendus » et des « corrompus » qui ont « bénéficié d'assiettes de terrain à Tizi Ouzou, d'une cimenterie à Oued Aïssi et de chèques de banque », s'inscrivent en effet dans la continuité de la campagne de dénigrement et d'intox menée tous azimuts aux fins de discréditer le mouvement citoyen et de préserver les privilèges de certains partis croupions et de leurs pions rentiers. Cela étant, bien qu'il s'agisse d'agitateurs de caniveau sans grande envergure tel qu'ils l'ont prouvé en appelant au vote le 8 avril dernier en violation des résolutions du mouvement, il nous appartient cependant de les mettre au défi de produire les preuves de ce qu'ils avancent plutôt que d'insulter l'intelligence des citoyens par des élucubrations indécentes et débiles. Nous nous réservons le droit d'engager des poursuites judiciaires pour que les auteurs puissent s'expliquer devant les tribunaux. Tizi Ouzou, le 20 janvier 2005 La présidence tournante