La cause en est que l'APC d'El Achour, suite à un accident de la circulation et sous la pression des habitants des fermes et bidonvilles, a procédé à l'installation de 24 dos d'âne, sur une distance de 2000 m. Ce nombre a été ramené quelques mois plus tard à 14, sur une distance de 1400 m, soit un dos d'âne tous les 100 m. Ces ralentisseurs, qui ne répondent à aucune norme, mettent les mécaniques à rude épreuve, et font que beaucoup évitent ce tronçon de la RN36. La solution aurait été plus judicieuse si la commune avait procédé à la réfection des accotements et, pourquoi pas, la construction de trottoirs.