En effet, la majorité des routes desservant les zones rurales sont à revêtir. Ont peut citer l'axe reliant les villages Bouider et Chlouth au CW 151 et celui reliant le village Ghomrassa à la commune de Bordj Menaïel. On peut y ajouter la partie restante de la route reliant le village Ouanougha à Aït Sidi Amara, à la limite de la commune de Timezrit. Long de 2 km environ, ce chemin est impraticable, selon les villageois. Ces derniers mettent en évidence l'inexistence de moyens qui peuvent retenir les habitants dans cette région oubliée. «Ceux qui sont restés n'ont sûrement pas trouvé où aller», soutien un habitant. Par ailleurs, pour les routes du centre urbain et des villages environnants et qui ont besoin d'être bitumées, on peut citer la route reliant le village agricole à la route nationale n° 68 qui est aussi impraticable. Idem pour la route reliant le chef-lieu de la commune à Tamlakement en passant par le groupement des Bouhafad. La route dite Arabi et l'axe reliant Issers-Ville au village agricole sont aussi dans un état lamentable et nécessitent, un revêtement. Certains des axes routiers précités ne sont pas aménagés depuis des lustres, comme l'atteste d'ailleurs, leur état actuel. Aussi, les autorités locales auront fort à faire au niveau des différentes cités du chef-lieu où toutes les artères sont défoncées et les caniveaux bouchés. A titre d'exemple, après chaque averse, il est très difficile de circuler au niveau des cités jouxtant le siège de l'APC.