En revanche, l'école primaire du village Aït Sidi Amar, dotée d'une cantine scolaire, fonctionne avec 10 élèves seulement, a-t-on appris auprès de l'Inspection de l'enseignement primaire. Cette situation assez insolite est dictée par l'enclavement de ce village, le bas âge des enfants scolarisés et le manque du ramassage scolaire. Aussi, prenant en considération tous ces facteurs, la tutelle a jugé nécessaire de maintenir ouvert cet établissement. Ce phénomène est généré par la baisse sensible du taux de natalité, les mariages de plus en plus reculés et, à un degré moindre, par l'exode rural, a-t-on expliqué.