Dans une déclaration, dont une copie nous a été remise, cette coordination, qui regroupe les sections syndicales affiliées au Snapap des cités universitaires Réhahlia, Oued Aïssi, (jeunes filles et garçons), Didouche Mourad et Draâ Ben Khedda, de l'université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, a rappelé que «ce dossier relève un déficit de plusieurs millions de dinars révélé et signalé dans le rapport du commissaire aux comptes». Les rédacteurs du texte ont noté que «les responsables hiérarchiques, censés prendre les mesures qui s'imposent, n'ont donné aucune suite à ce jour par rapport à ce scandaleux dossier, et ce, malgré les engagements tenus lors des dernières réunions (…), à savoir l'affichage de la liste nominative détaillée portant les personnes ayant fait objet de prêts abusifs». Dans le même document, l'on souligne aussi que «d'autres problèmes socioprofessionnels des travailleurs demeurent sans suite, malgré la plateforme de revendications discutée et négociée avec le DOU (directeur des œuvres universitaires de Tizi Ouzou-Centre)». Aussi, la coordination syndicale a dénoncé le fait que des recrutements soient effectués pour l'année en cours «sans prendre en compte l'avis du partenaire social».