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Ralentisseurs ou «boudins» noirs ?
Publié dans El Watan le 21 - 02 - 2010

Plusieurs usagers de la route se plaignent des dommages subis au niveau des carters, ponts arrière et pots d'échappement de leurs véhicules. La raison ? L'anarchie dans l'implantation des ralentisseurs ou ce qu'on appelle les dos d'âne hors normes et qui peuvent surgir sans avertir l'usager grâce à un panneau de signalisation. Cet abus dans la mise en place de ralentisseurs sauvages et sans angle d'attaque n'est pas sans casser le châssis des bagnoles, s'indignent les automobilistes qui, déjà, font les frais des trous béants et autres excavations qui jonchent les artères de la capitale. Il est vrai que nos routes sont devenues au fil des jours dangereuses, fauchent des vies humaines, endeuillent des familles et inquiètent de plus en plus les «sages» automobilistes, mais l'autorité compétente ne doit-elle pas veiller aux conditions d'implantation de ces équipements routiers, leurs modalités de réalisation et leurs caractéristiques géométriques ? «Nous ne devons plus attendre qu'il y ait un accident mortel pour décider enfin de placer un dos d'âne, mais cela ne doit aucunement être chiant, ni occasionner des dommages à nos véhicules», fulminent les conducteurs qui empruntent certaines voies communales au demeurant meurtrières.
Aussi, le soir où l'éclairage public fait défaut, par endroits, l'usager peut être surpris au détour d'un tronçon par des «boudins» noirs installés de manière anarchique et sans avertisseur visuel, l'incitant à la vigilance et à la réduction de vitesse. Il peut avoir les quatre jantes en l'air et provoquer l'irréparable… N'est-ce pas que, selon la loi portant implantation de ralentisseurs (n°18 du 2 avril 2008 ; JO n°1472), il est institué dans chaque wilaya une commission technique présidée par le wali ou son représentant et composée des directeurs des travaux publics, des transports, de l'habitat et de l'urbanisme, des représentants de la Sûreté nationale et de la Gendarmerie nationale et du président de l'Assemblée populaire communale concernée qui ont la charge d'examiner la réglementation de ce type d'équipements ? Ce qui signifie, en termes plus clairs, qu'aucune décision dans ce genre d'opération ne peut être prise sans la concertation desdits départements.
Mais dans certaines circonscriptions, on passe outre la réglementation en vigueur et on fait à sa tête. L'on a même remarqué des particuliers dans certaines localités ériger sans gêne des boursoufflures sur la largeur d'une route pour dissuader les éventuels «fous du volant». Autrement dit, on protège le riverain tout en cassant l'usager, sous le regard amorphe des gestionnaires de la voie publique.


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