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Instantané : ces dos-d'âne meurtriers
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Publié dans El Watan le 03 - 06 - 2012

Les carrefours de la mort, c'est ainsi que les automobilistes viennent de baptiser les ouvrages inachevés sur le tronçon routier qui va de Bordj El Bahri à Reghaïa en passant par Dergana. On compte, ces derniers mois, plusieurs accidents qui ont coûté la vie à des citoyens empruntant cet axe, surtout au niveau des carrefours, où les travaux d'achèvement des bretelles ont l'air de s'éterniser. Parfois, l'automobiliste se voit contraint, par endroits, de slalomer, puisque de deux voies, on passe à une seule, pour revenir à deux ; du bitume au tuf, ce qui désoriente les usagers dont des poids lourds qui sont à l'origine de plusieurs hécatombes. Devant un tel gâchis, les autorités locales ont dû – bien que le projet (une route nationale) ne soit pas de leur compétence – parer au plus pressé et installer des ralentisseurs, trivialement appelés dos-d'âne, pour limiter les dégâts.
En parlant de dos-d'âne ou – par euphémisme – de ralentisseurs, les automobilistes se plaignent des dommages subis au niveau des carters, ponts arrière et pots d'échappement de leurs carrosses. Aussi, le soir, quand l'éclairage public fait défaut par endroits, l'usager peut être surpris au détour d'un tronçon par des «boudins» noirs installés à l'emporte-pièce et sans avertisseur visuel, susceptible de l'inciter à la vigilance et à la réduction de vitesse. Il peut avoir les quatre… jantes en l'air non sans provoquer l'irréparable... N'est-ce pas que, selon la loi portant implantation de ralentisseurs (JO n°18 du 2 avril 2008), il est institué dans chaque wilaya une commission technique présidée par le wali ou son représentant et composée des directeurs des travaux publics, des transports, de l'habitat et de l'urbanisme, des représentants de la Sûreté nationale et de la Gendarmerie nationale et du P/APC concernée et chargée d'examiner le bien-fondé de la mise en place de ces équipements, notamment du côté d'Essouaradj (Bab J'did) ?
Ce qui signifie, en termes plus clairs, qu'aucune décision dans ce genre d'opération ne peut être prise sans la concertation desdits départements. Mais dans certaines circonscriptions, on passe outre la réglementation en vigueur et on agit par inconséquence. L'on a même remarqué des particuliers dans certaines localités ériger, sans gêne, des boursouflures sur la largeur d'une route pour dissuader les éventuels «fous du volant». Autrement dit, on protège le riverain tout en cassant l'usager, sous le regard amorphe des gestionnaires de la voirie publique.


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