Plusieurs quartiers sont dans le noir sans que cela semble déranger les responsables concernés. Haï El-Badr, un des endroits les plus fréquentés, se trouve sans éclairage public depuis plusieurs mois. Cette défaillance touche également Debdaba, le centre-ville, Haï Erriadhi, Bechar-Djedid, Djenien Diffallah, accentuant l'insécurité à travers la ville. Depuis que les élus ont décidé de geler les activités des APC, mercredi dernier, dans leur bras de fer avec la justice, il n'y a plus d'espoir de revoir ces quartiers éclairés dans un proche avenir. Les citoyens sont pris en otage dans une affaire qui ne les concerne nullement. Mais où est l'Etat ?