«J'espère pouvoir m'y rendre puis que je l'ai demandé. J'ai eu de bons signes, mais l'important comment cela va se faire », a-t-il indiqué dans un entretien accordé à El Watan et qui va paraître ce dimanche, avouant que «c'est très délicat comme dossier». Marc Trévidic, a également déclaré que dans la lutte contre le terrorisme islamiste, «y a pas assez de bonne volonté, il y a des discours, mais pas d'actes». «Il faut que l'entraide soit la plus fluide possible », a-t-il indiqué, estimant que «les pays en matière de terrorisme, sont hypocrites tout le temps».