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Le tribunal criminel innocente des cadres à Tiaret : L'ex-wali Brahim Mered désavoué
Publié dans El Watan le 29 - 11 - 2009

L'affaire concerne la signature d'une décision autorisant l'exploitation de sable sur l'oued Touil au niveau de la commune de Zmalet Emir Abdelkader dans la daïra de Ksar-Chellala.
Le tribunal criminel, près la cour de justice de Tiaret, a innocenté, jeudi, les cadres incriminés de faux et utilisation de faux par l'ex-wali de Tiaret, actuellement en poste à Boumerdès, M. Brahim Mered en dépit d'un lourd réquisitoire (dix ans d'emprisonnement ferme et 10 millions d'amende) prononcé par le représentant du ministère public. L'affaire concerne la signature d'une décision autorisant l'exploitation de sable sur l'oued Touil au niveau de la commune de Zmalet Emir Abdelkader dans la daïra de Ksar-Chellala. Décision que M. Mered juge estampillée d'une fausse signature, la sienne mettant du coup sous les feux des projecteurs l'ex-DHW actuellement en poste à Souk Ahras, le DRAG, des chefs de services et des employés de la wilaya et de la direction de l'hydraulique. Les prévenus qui se sont succédé à la barre ne purent, pour certains, retenir leurs larmes en relatant avec force détails les péripéties d'une décision que le cabinet noir du wali aurait concoctées.
Les noms de Samir, un secrétaire particulier de Brahim Mered tout autant que l'ex-chef de cabinet ont été à plusieurs fois cités. L'entrepreneur Doumi Mohamed, qui aurait outrepassé le quota prescrit dans la décision, soit 58.000 mètres cubes, dit être victime d'une machination orchestrée par l'ex-chef de daïra et certaines parties qui continuaient d'exercer des pressions. Dans le fond, le tribunal n'a pas exigé d'analyses graphologiques à même de déterminer le vrai d'une fausse décision dont l'original ne figurait pas dans le dossier de plainte déposé par le wali le 25/10/2005.
Départ énigmatique
Auparavant, le chef de l'exécutif local venait d'annuler une première fois la décision suite à un mouvement de protestation citoyen à Ksar-Chellala et aurait signé le stencil. S'ensuit un inextricable va-et-vient dans les dédales de l'administration, supputations mais départ énigmatique de celui par qui le scandale est passé, autrement dit ce Samir qui a subitement disparu de la circulation. Les insinuations furent nombreuses mais le président de la cour s'en tint aux faits, ne s'embarrassant pas de recadrer les débats lorsque les prévenus se laissaient aller à des aveux pour le moins symptomatiques de l'état d'esprit qui régnait. Au-delà donc de la relaxe des prévenus soutenus par une dizaine d'avocats dont un bâtonnier et la conviction des juges ainsi que des jurés, subsiste une question restée sans réponses. Qui a falsifié le document ? A contrario, pourquoi l'ex-wali a-t-il agi ainsi ?...


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