Cette expertise s'est soldée par la remise d'un rapport de diagnostic technique au courant du mois de mars 2014, qui a permis d'engager un bureau d'études à l'effet d'établir une étude architecturale en vue d'arrêter les travaux à réaliser. Consciente de la menace imminente de ce mur et à titre préventif, l'administration a clôturé toute la partie menaçant ruine dans l'attente d'entamer les travaux nécessaires. S'agissant de la villa, il est question d'une bâtisse de style néo-mauresque délaissée, abandonnée et délabrée. Soucieux de la préservation du patrimoine historique et culturel, une demande a été introduite auprès des instances habilitées à l'effet de statuer sur le devenir de cette demeure. En guise de réponse, les services du ministère de la Culture ont autorisé le Centre hospitalo-universitaire de Bab El Oued à la démolir, car elle ne représente aucune valeur architecturelle. Suite à quoi et dans le cadre de la réalisation d'un centre d'oncologie, le choix d'implantation a été porté sur un terrain où était érigée ladite bâtisse qui a été effectivement démolie. Enfin, concernant les anomalies relevées sur l'incinérateur actuel, une entreprise spécialisée est intervenue pour parer à ces défaillances, et ce, en vue de répondre aux exigences édictées par les normes environnementales. L'établissement génère des déchets d'activités de soins qu'il n'est plus possible d'acheminer vers les centres d'enfouissement technique, d'où le recours à cet incinérateur pour leur élimination, et ce, en attendant la finalisation de l'opération d'acquisition d'un banaliseur tel que recommandé par les autorités intervenant dans ce domaine.