Le centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine sera doté "prochainement" de deux banaliseurs de dernière génération pour le traitement des déchets d'activités de soins à risques infectieux (Dasri), a indiqué, mercredi dernier, cet établissement sanitaire. Le centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine sera doté "prochainement" de deux banaliseurs de dernière génération pour le traitement des déchets d'activités de soins à risques infectieux (Dasri), a indiqué, mercredi dernier, cet établissement sanitaire. Selon cette source, le projet, pour lequel une enveloppe financière, estimée à 80 millions de dinars, a été mobilisée, est en phase de "finalisation en vue du lancement des consultations d'usage". Mettant en exergue l'apport de ces appareils dans "l'amélioration du traitement des déchets hospitaliers", la même source a précisé que les banaliseurs de dernière génération sont dotés de systèmes intégrés de vapeur, de compresseur d'air, d'adoucisseur d'eau et d'évacuation des broyats, ce qui permet "une meilleure désinfection et le broyage des Dasri". Ces banaliseurs, d'une capacité de traitement de deux tonnes de déchets en sept heures, réduisent les émissions olfactives du fait que les liquides, qui étaient, dans les anciens modèles, récupérés dans une cuve de efroidissement en fin de traitement puis évacués vers le réseau des eaux usées, seront désormais "évaporés en fin de cycle", a-t-on expliqué. Dans le cadre de l'amélioration de la gestion des déchets hospitaliers, l'administration du CHU Constantine a récemment passé une convention avec une entreprise située à Aïn M'lila (Oum El-Bouaghi), spécialisée dans la collecte, le traitement et l'incinération de déchets de laboratoires pharmaceutiques pour la prise en charge d'une partie des déchets, devant la saturation des deux anciens incinérateurs de l'établissement sanitaire. Le CHU de Constantine, avec ses 56 services, génère quotidiennement 2,5 tonnes de déchets d'activités de soins (DAS) et de déchets à risque infectieux. En août dernier, le centre d'enfouissement technique (CET) de la commune de Benbadis a refusé l'accès aux camions des déchets de l'hôpital pour non-tri des déchets, ce qui avait engendré une situation insoutenable à l'entrée des différents services de l'hôpital. Selon cette source, le projet, pour lequel une enveloppe financière, estimée à 80 millions de dinars, a été mobilisée, est en phase de "finalisation en vue du lancement des consultations d'usage". Mettant en exergue l'apport de ces appareils dans "l'amélioration du traitement des déchets hospitaliers", la même source a précisé que les banaliseurs de dernière génération sont dotés de systèmes intégrés de vapeur, de compresseur d'air, d'adoucisseur d'eau et d'évacuation des broyats, ce qui permet "une meilleure désinfection et le broyage des Dasri". Ces banaliseurs, d'une capacité de traitement de deux tonnes de déchets en sept heures, réduisent les émissions olfactives du fait que les liquides, qui étaient, dans les anciens modèles, récupérés dans une cuve de efroidissement en fin de traitement puis évacués vers le réseau des eaux usées, seront désormais "évaporés en fin de cycle", a-t-on expliqué. Dans le cadre de l'amélioration de la gestion des déchets hospitaliers, l'administration du CHU Constantine a récemment passé une convention avec une entreprise située à Aïn M'lila (Oum El-Bouaghi), spécialisée dans la collecte, le traitement et l'incinération de déchets de laboratoires pharmaceutiques pour la prise en charge d'une partie des déchets, devant la saturation des deux anciens incinérateurs de l'établissement sanitaire. Le CHU de Constantine, avec ses 56 services, génère quotidiennement 2,5 tonnes de déchets d'activités de soins (DAS) et de déchets à risque infectieux. En août dernier, le centre d'enfouissement technique (CET) de la commune de Benbadis a refusé l'accès aux camions des déchets de l'hôpital pour non-tri des déchets, ce qui avait engendré une situation insoutenable à l'entrée des différents services de l'hôpital.