-Sidi Moussa : Des classes surchargées Les classes de l'unique CEM de Raïs connaissent une surcharge d'élèves qui s'avère pénalisante. Cette situation est à déplorer aussi bien dans les classes de 9e que dans celles de la 7e années. D'après les parents d'élèves, plus de 600 collégiens suivent leur scolarité dans cet établissement qui s'est dégradé. Le nombre d'élèves ne cesse de croître d'année en année, particulièrement pour les classes de 7e année, alors que les capacités d'accueil du CEM sont les mêmes depuis son ouverture il y a de cela 15 ans. Rappelons que la localité de Raïs compte plus 3000 habitants. Les parents sont contraints, faute de places pédagogiques, d'inscrire leurs enfants dans l'unique établissement de la localité, car ce dernier est doté d'une cantine scolaire. Pour les parents qui ont les moyens de scolariser leurs enfants ailleurs, ils n'hésitent pas de le faire. En attendant que les autorités locales se penchent sur ce problème, les élèves du moyen devront prendre leur mal en patience. -Bordj El Kiffan : Le commerce informel se réinstalle A Qahouet Chergui, dans la commune de Bordj El Kiffan, les vendeurs à la sauvette ont repris leurs habitudes en installant leurs étals de fortune dans les stations de transport urbain et à proximité de la nouvelle station du tramway. Cette situation crée une indescriptible anarchie qui donne à l'endroit des allures de souk plutôt qu'une station de transport urbain. A quelques encablures de cette station, plus précisément à la cité Cosider, les marchands informels ont repris également leurs activités au grand dam des habitants de la cité qui subissent une multitude de désagréments. D'après un responsable de l'APC de Bordj El Bahri, la municipalité a prévu d'intégrer tous ces marchands dans le cadre du commerce légal. En attendant cette situation de rechange, les commerçants informels continuent de faire la pluie et le beau temps.