-Tessala El Merdja : Le projet de marché couvert en souffrance A Tessala El Merdja, le commerce informel a toujours pignon sur rue. Les marchands informels persistent dans leurs activités, et ce, en dépit des multiples opérations de délogement dont ils ont fait l'objet. Cette situation est due en partie à l'absence de solutions de rechange. La municipalité a lancé plusieurs projets de réalisation de marchés de proximité, mais qui tardent à être réceptionnés. Le marché couvert, en cours de réalisation à la cité des 1310 Logements, n'est toujours pas réceptionné. D'après un responsable local, «le taux d'avancement des travaux est de 70%». En tout état de cause, ce sont les habitants de la commune qui sont pénalisés par cette situation, car les marchands informels ne se soucient nullement de l'hygiène, laissant leurs déchets sur les trottoirs. -Qahouet Chergui (Bordj El Kiffan) : Le commerce informel reprend A Qahouet Chergui, commune de Bordj El Kiffan, les marchands informels se sont réinstallés aux mêmes endroits où ils activaient avant d'y être délogés, particulièrement près de la station de transport urbain et à proximité de la nouvelle station du tramway. Cette situation d'anarchie perturbe énormément la circulation routière. A quelques encablures de cette station, à la cité Cosider, ces commerçants informels ont également repris leurs activités, au grand dam des habitants de la cité qui subissent nombre de désagréments. Selon un responsable de l'APC de Bordj El Bahri, la municipalité a prévu d'intégrer tous ces marchands dans le cadre du commerce légal. En attendant cette solution de rechange, les marchands informels continuent leur commerce en terrain conquis. Notons qu'un marché de fruits et légumes a été ouvert il y a quelques mois, mais les marchands informels refusent de s'y installer sous prétexte d'absence de commodités.