Suite à l'article « Un moudjahid dans la tourmente », paru dans notre édition du 14 décembre, le directeur de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, Ould Ali L'Hadi, apporte les précisions suivantes : « Le logement dont M. Hassan El Hadj a été exclu par décision de justice revêt un caractère de logement de fonction qu'il est en devoir de quitter après la fin des fonctions en sa qualité d'ex-directeur de la maison de la culture de Tizi Ouzou. Il convient de rappeler qu'à mon installation en 2003, je l'ai autorisé à habiter temporairement le logement avec un engagement de sa part de le quitter dans un délai ne dépassant pas six mois. Entre-temps, je louais à mes frais un appartement à la Nouvelle-ville de Tizi Ouzou. Le ministère de la Culture a mis à sa disposition un logement dans l'enceinte de l'Ismas de Bordj El Kiffan qu'il a refusé d'occuper. Tout comme la direction de la culture qui lui a proposé un appartement à Draâ Ben Khedda, offre qu'il a aussi déclinée. La Maison de la culture lui a loué pendant huit mois un logement au centre-ville de Tizi Ouzou et le wali, sensibilisé sur son cas, lui a attribué un logement OPGI en son nom personnel. Dont acte. Je rappelle que le secteur de la culture, au niveau local comme au niveau central, et particulièrement Mme la ministre de la Culture, ainsi que la Maison de la culture, s'en sont fait une priorité de s'occuper des hommes et des acteurs de la culture. On est donc loin de « l'indifférence ».