La faible pluviométrie, enregistrée notamment durant le mois d'avril, considérée comme une période cruciale pour la croissance de l'épi, serait la principale cause de ce déficit, sachant que le rendement moyen à l'hectare dans cette wilaya des Hauts-Plateaux du Centre-ouest est de l'ordre de 10 quintaux à l'hectare. Par ailleurs, les agriculteurs, de leur côté, continuent à livrer leurs récoltes aux services de l'OAIC qui peine à trouver une solution radicale au problème du stockage, au vu des longues files d'engins de tous genres constatées devant les différentes unités de cet organisme. A ce jour, près de 200 000 quintaux ont été réceptionnés, a-t-on indiqué à l'OAIC.