Il semblerait que certains de nos dirigeants sportifs fraîchement élus à la tête de la Fédération n'aient pas compris ou du moins appris que pour faire partie d'une institution internationale, il faut au minimum se faire connaître dans son pays et par la suite avoir connu les dédales des coulisses du monde extérieur. C'est ce qui est arrivé au président de la FAVB, Mustapha Lemouchi, qui, après à peine une demi-douzaine de mois à la tête de la FAVB et en plus totalement inconnu dans la sphère du volley-ball arabe, il présente sa candidature à l'Union arabe de Volley-ball et retire celle de son prédécesseur Okba Gougam. Résultat, l'Algérie perd sa place aux dépens de l'Egypte. Pire, l'Egyptien n'est même pas président de la Fédération de son pays, il n'est qu'un simple membre. Que dire de la suite de cette débâcle électorale de Lemouchi et sa troupe. Cinq membres de la FAVB se sont présentés aux postes de commissions, un seul est passé, celui qui a été placé par… Gougam lors des élections écoulées. C'est ainsi que l'on efface tout et on recommence. Pauvre de nous.