L'université des sciences et de la technologie d'Oran, Mohamed Boudiaf (USTO), a signé, mardi dernier, une convention-cadre avec Lafarge Ciment Oggaz (LCO spa). Cet accord de partenariat a été paraphé par la rectrice de l'USTO, Mme le Professeur Benharrats Nassira, d'un côté, et le directeur représentant de Lafarge, François Lemaire, de l'autre, lors d'une cérémonie organisée au siège de Lafarge Oggaz, en présence des staffs des deux parties. «Cette convention rentre dans le cadre du rapprochement de l'université et de l'entreprise et concernera la formation du personnel de Lafarge par l'université, et, d'autre part, assurera des stages pratiques pour les étudiants de l'USTO», indique le Pr Amine B. Hammou, vice-recteur des relations extérieures, de la coopération, de l'animation et de la communication et des manifestations scientifiques de l'USTO. «Par ailleurs, un master professionnel ‘‘Chimie des matériaux'' existe depuis 2011 entre l'USTO et Lafarge», poursuit le Pr Hammou. «L'USTO signera aussi prochainement une convention avec Sonatrach, ce qui va permettre d'ouvrir notre université à de nouveaux horizons», ajoute le vice-recteur, qui précise que «l'USTO compte 48 conventions internationales et 37 nationales, dont 15 avec le secteur industriel». Un partenariat a été tissé, le 13 octobre dernier, entre l'université Mohamed Boudiaf d'Oran (USTO) et Général Emballage, leader de l'industrie du carton ondulé en Algérie (1200 salariés). Cette initiative a permis la création d'une licence professionnelle dans la filière de l'emballage. A l'issue de cette formation, les étudiants seront tous recrutés par Général Emballage. C'est le fruit d'une convention qui a été signée par la rectrice de l'USTO, le recteur de l'université de Béjaïa et Général Emballage. «C'est une formation ‘‘professionnalisante'', autrement dit une licence professionnelle de trois ans correspondant aux besoins de notre partenaire Général Emballage. Ce genre de formation permet aux entreprises de trouver les cadres dont elles ont besoin, le master n'étant pas un point de passage obligé pour décrocher un emploi», explique le vice-recteur en charge des relations et de la coopération à l'USTO.