Les cités d'El Merdja, El Wiaâm et celle de la route d'Alger sont les trois sites qui ont gommé le panorama misérable de l'ex-municipalité urbaine de Vialar à Tissemsilt. En dépit des moyens draconiens et du budget faramineux qu'exige cette modernisation, la DLEP, la DUC, la DTP et la direction de l'hydraulique ont focalisé leurs efforts pour rendre la ville de Tissemsilt vivable. En effet, hormis les 70% des cités fraîchement bitumées, on a classé Aïn Loran, la route de Sidi Abed, El Merdja, Aïn El Bordj et El Wiaâm comme points noirs. Des points noirs qui seront incessamment traités. Pour ce qui est de l'amélioration urbaine, plusieurs pôles urbanistiques ont été envisagés, tels que Aïn Loran où on a mis en chantier 550 logements sociaux, le voisinage de Kebbaba près du carrefour de la sortie ouest de la ville qui abritera 1600 logements sociaux, un centre commercial, un hôtel touristique et plusieurs équipements publics. Un programme de démolition des anciennes bâtisses qui bordent le boulevard du Premier novembre est prévu. L'assiette dégagée abritera une cité commerciale moderne.