Abandonnée depuis plusieurs années, la mine d'El Abed (zinc et cuivre) sera remise en service. Datant de l'ère coloniale, elle a été nationalisée en 1971 et gérée en partenariat avec une société de l'Union soviétique. Elle a été mise à l'arrêt en 2001 en raison de ses machines vétustes et de sa sous-productivité. En 2005, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, s'est rendu sur les lieux pour, d'abord, créer une école de formation de cadres dans le domaine des mines et annoncer l'intérêt d'une société chinoise pour investir 320 milliards de centimes. Un partenariat est né entre cette dernière et l'entreprise Sonatrach qui a commencé par rénover les lieux. La mine de quatre puits d'une profondeur de 380 mètres permettra la création de 400 postes d'emploi permanents destinés en majorité aux Algériens.