Fataliste : « Il était impossible de s'assurer la conquête d'un sixième titre mondial, d'abord pour la taille du défi, ensuite pour la complexité de la mission. » (L'ex-sélectionneur Dunga, étonnamment fataliste après l'échec brésilien) Cœur (1) : « Je vais suivre la finale en espérant que le meilleur gagne, mais mon cœur sera brisé. » (Le président brésilien Lula Da Silva) Cœur (2) : « Ton penalty était digne d'un film, mais tu peux être tranquille, mon cœur est dans un état impeccable. » (La grand-mère de l'Uruguayen Sebastian Abreu, à propos de son tir au but décisif en quart de finale contre le Ghana, marqué d'une « panenka ») Révérence : « Si Michael disait maintenant "l'équipe est assez forte sans moi, je quitte définitivement la sélection pour me concentrer sur le Bayer Leverkusen", il montrerait qu'il est un grand monsieur. » (L'ancien international allemand Lothar Matthäus à propos de Michael Ballack) Rooney 2014 : « Il y avait tellement d'attentes autour de lui (...). Attendez un peu, dans quatre ans, vous verrez un joueur complètement différent. » (Pour Sir Alex Ferguson, Wayne Rooney, décevant en Afrique du Sud, sera le joueur du Mondial 2014 au Brésil) Africa : « Le Ghana a fait de son mieux, mais les cinq autres équipes n'étaient pas préparées. Elles n'étaient pas prêtes. Elles n'ont rien fait de bien. L'Afrique possède les talents et le désir, mais si on n'encourage pas les joueurs, il va y avoir encore des revers lors des prochains Mondiaux. » (L'ancien attaquant libérien George Weah) Bénéfice : « Nous pouvons sans problème dire que nous avons de bons retours sur nos investissements. » (Le président sud-africain Jacob Zuma, dont le pays a dépensé 4 milliards d'euros pour le Mondial)