Soixante ans après leur lâche assassinat par l'armée coloniale, les corps des martyrs Bounaâma Djillali, appelé Si Mohamed, chef de la Wilaya IV, et de son compagnon Khaled Aïssa El Bey n'ont toujours pas été retrouvés. A ce jour, leurs familles n'ont pas pu faire leur deuil et espèrent que la vérité éclatera un jour sur le sort des leurs après leur exécution. Vu leur activisme avéré et le danger qu'ils représentaient pour l'occupant français pendant les années de lutte pour l'indépendance, l'armée française a utilisé d'énormes moyens, comme la radiogoniométrie pour pouvoir les localiser, en captant les communications émises à travers le poste de transmission de Si Mohamed. *Retrouvez l'intégralité de nos articles sur la version papier Advertisements