La librairie du Tiers-Monde à Alger, en l'espace d'un après-midi, samedi, était devenue une «Grande Maison». Celle de Mohammed Dib. Et celle qui était l'hôte, c'était inévitablement Mme Sabiha Benmansour, présidente de l'Association «La Grande Maison», dont elle est membre fondateur, auteure et universitaire en signant son essai Au commencement est le paysage, l'ancrage tlemcénien de l'œuvre de Mohammed Dib paru chez Casbah éditions. Ainsi, avons-nous poussé la porte de cette «Grande maison» habitée par Mme Sabiha Benmansour, écrivaine, professeur de langue et littérature françaises à l'Université Abou Bekr Belkaïd de Tlemcen. Et elle nous a ouvert, non seulement la porte, mais aussi les bras à travers un accueil chaleureux avec des dattes en prime. La générosité séculaire est le genre de la maison, «La Grande maison». C'est elle qui régalait, mais aussi elle signait son essai Au commencement est le paysage, l'ancrage tlemcénien de l'œuvre de Mohammed Dib, paru chez Casbah éditions. Et ce, devant le regard attendri d'une de ses premières « admiratrices »... Sa fille. Et devinez qui ? Lila Borsali, oui la grande chanteuse de musique arabo-andalouse. Tel mère, telle fille. A vrai dire, nous sommes entrés chez-elle, «at home», plutôt «sweet home», à la maison du «seigneur», le grand écrivain Mohammed Dib. Et nous avons découvert en fait une spécialiste de Mohammed Dib, une «dibienne» convaincue, défendant, perpétuant et vulgarisant l'œuvre et le précieux legs littéraire de Mohammed Dib. Retrouvez l'intégralité de nos articles sur la version papier Advertisements