Le choix de la destination semble difficile et dépend surtout du portefeuille. Il faut éviter toute dépense inutile à la veille de 2022, une année pleine d'incertitudes. A l'approche de la fin de l'année, les Algériens ont-ils toujours la tête à la fête ? Vont-ils réveillonner comme les années précédentes ou se contenter d'un petit repas familial ? Le choix semble difficile et dépend surtout du portefeuille. Il faut éviter toute dépense inutile à la veille de 2022, une année pleine d'incertitudes. Cette période est l'occasion pour de nombreux professionnels, dont les agences de voyages et de tourisme, de faire l'essentiel de leur chiffre d'affaires. Mais cette année, crise oblige, les Algériens rognent sur leur budget vacances. Ils sont à la recherche d'opportunités à saisir et de destinations abordables. Plusieurs autres raisons freinent les voyages à l'international : la flambée de l'euro et beaucoup de famille engagées dans des programmes de logements préfèrent utiliser leurs économies pour finaliser l'acquisition d'un toit et son équipement. Il a été constaté une progression pour la destination Sud et surtout la Saoura et la région du Gourara, mais le manque d'infrastructures et d'aménagements oblige à limiter le nombre de personnes et de départs. «Nous affichons déjà complet. Une demande extraordinaire cette année et nous n'avons plus d'hébergement répondant à nos exigences. Même les vols, il n'y a plus de disponibilité. Que ce soit sur Timimoun ou Tamanrasset», a déclaré à El Watan Mustapha Bendali-Braham, directeur fondateur de Nreservi.com. Certains hôtels ont mis les petits plats dans les grands. Boukabous Saïd, directeur général de l'hôtel New Day (Hussein Dey/Alger), a bien compris que les fêtes de fin d'année peuvent être un moment de détente pour profiter des petits plaisirs inhabituels, loin du stress quotidien après ces longues périodes chargées. Retrouvez l'intégralité de nos articles sur la version papier Advertisements