Leïla Sebbar en Algérie après 20 ans d'absence Leïla Sebbar sera à Blida le jeudi 8 septembre. Invitée par les Causeries blidéennes et l'association Mémoire de la Méditerranée, la romancière et nouvelliste vivant outre-Méditerranée depuis le début des années soixante n'a cessé de « traquer » l'Algérie, le pays paternel, celui où elle est née et a vécu toute son enfance et une partie de sa jeunesse. Ses écrits disent les femmes, mais aussi tous ceux qui sont sous domination et parmi eux les Palestiniens. Actuellement, elle se retourne vers la langue paternelle, celle de son pays - langue plurielle - et sollicite toute sorte de supports : visuel, sonore et même les silences. « Elle est toujours en quête de quelque chose qui a à voir avec l'Algérie », affirme une de nos critiques de la littérature algérienne, Christiane Chaulet Achour, qui sera présente le 8 septembre à Blida pour animer la rencontre avec Bouba Tabti et Paul Faizant. Mes Algéries en France, carnet de voyages édité en 2004 chez Bleu autour ainsi que le récit Je ne parle pas la langue de mon père, éd. Julliard, 2003, seront les ouvrages vedettes de l'après-midi littéraire débutant la saison culturelle à la librairie Mauguin. Pour cette première de la saison, des noms de la littérature et du livre ont confirmé leur venue. Parmi eux, il y a lieu de citer Barzakh, A. Berehi, F. Medjahed, A. Bekkat et L. Hamoutène. Trafic de pomme de terre vers la Tunisie Les gardes-frontières de Khenig (Tébessa), en patrouille dans leur secteur de responsabilité, ont intercepté deux personnes à bord de 2 véhicules de marque Peugeot 504 transportant 11 q de pomme de terre qu'ils s'apprêtaient à acheminer frauduleusement vers la Tunisie. Une autre personne, interpellée non loin des lieux, transportait sur une charrette un lot de produits cosmétiques destiné à la contrebande d'une valeur globale de 50 640 DA. Les mis en cause, les moyens de transport utilisés et les marchandises saisies ont été remis à la brigade de Gendarmerie nationale d'El Houdjeb qui procède à l'enquête. Il se faisait passer pour un officier La brigade de Gendarmerie nationale de Tipaza a présenté devant la justice un homme pour escroquerie et usurpation de fonction dont a été victime le nommé Y. M., 51 ans. Durant mai dernier, le mis en cause, qui se faisait passer pour un officier de l'ANP, avait promis à la victime d'intervenir en sa faveur auprès des services des douanes pour l'achat d'un véhicule aux enchères. Mise en confiance, la victime lui a remis la somme de 39 200 DA. Le calvaire sur un bateau Un Algérien résidant en France s'est plaint que la cabine qu'il avait réservée sur le bateau Tarek avait été octroyée à un autre voyageur. Dans la journée du 28 août, jour de l'embarquement au port d'Alger, qu'elle ne fut l'étonnement de Hakim Abbani quand il trouva quelqu'un d'autre à sa place. Malgré un numéro d'installation et celui d'un dossier porté sur le billet acheté auprès de l'ENMTV, ce compatriote, handicapé et accompagné par sa femme, sera acculé d'accepter son sort, « celui du mépris et de l'abus de pourvoir de la part des responsables de l'ENMTV », dira-t-il. Fauchée par un jet-ski L'imprudent conducteur du jet-ski, à l'origine de la mort d'une fillette, le 31 juillet dernier sur la plage des Andalouses (corniche oranaise), a été condamné lundi à 8 mois de prison dont 2 ferme et à une amende de 5000 DA. L'accident a suscité une vive émotion parmi la population oranaise, notamment les estivants, victimes trop souvent de comportements irresponsables de certaines personnes qui louent ces engins pour parader devant les baigneurs. Cet accident a également fait un autre blessé, une fillette de 7 ans, qui se baignait près du rivage. Secousse tellurique en Tunisie Une secousse tellurique de magnitude 3,3 sur l'échelle de Richter a été ressentie hier à 5 h 49 mn (heure locale) à l'ouest de la localité de Menzel Temim, dans la région de Nabeul, ont relevé des stations sismiques relevant de l'Institut national tunisien de météorologie. La secousse n'a entraîné aucun dégât.