De nombreux projets d'aménagement lancés à la commune de Aïn Azel n'ont pu être achevés, car désertés par des entrepreneurs pour des raisons que seule l'administration connaît. Les habitants ne dissimulent pas leur mécontentement vis-à-vis de l'image que reflète désormais leur localité. Les retards enregistrés dans la clôture des opérations, tel que le revêtement du sol, l'éclairage public et l'état des routes sont là pour en témoigner. D'après nos sources, le manque d'argent est à l'origine de cette " panne " collective. À noter que cette situation touche les cités Belaâzem, Hamouda et les 311, 200, 345 et 75 logements, où les travaux connaissent un grand retard. Devant le mutisme des responsables locaux et en attendant une enveloppe conséquente, l'image de Aïn Azel ressemble à tout, sauf à une ville.