Alors que des milliers d'habitants vivent dans ce village situé près de Bordj El Bahri, la décision d'aménager un site de 1000 chalets pour les sinistrés du séisme du 21 mai 2003 est venue encore compliquer le problème en question. Supportant la chaleur de l'été ou les aléas climatiques durant la saison hivernale, tout le monde peine pour arriver au village Diar El Gharb à partir du centre-ville de Bordj El Bahri. C'est le cas, notamment des travailleurs qui, pour certains d'entre eux, se déplacent jusqu'à Alger-Centre. Fatigués déjà par ce qu'ils endurent en revenant de la capitale, ils ont du mal à rejoindre leur logis, particulièrement en fin de journée. Cela sans parler des enfants scolarisés, les lycéens surtout, qui sont constamment soumis à la rude épreuve de la route. Les autorités locales sont donc interpellées pour apporter un solution à ce problème de transport. Cela d'autant plus que la route menant à Diar El Gharb est entièrement bitumée, pour preuve, un grand nombre de bus assurant la ligne Aïn Taya -Alger l'emprunte le soir. Comme quoi, on peut toujours ordonner à certains d'entre eux de desservir régulièrement cette destination.