Les nids de poule qui étaient « l'exclusivité » de la périphérie de la capitale des Hauts-Plateaux, « s'invitent » aussi au centre-ville, où les crevasses pullulent tels des champignons. Il suffit de faire un tour du côté de l'avenue Djebel Boutaleb, plus précisément en face de l'entrée principale du CEM Allem Mansour, de l'avenue Larbi Ben-Mehidi (non loin de la grande poste située à 10 m du siège de la wilaya), pour constater les dégâts. La situation n'est guère reluisante au niveau du boulevard Cheikh Laïfa, de la rue Ali Rekaïf, et celle des Frères Meslem, située au cœur de l'antique Sitifis. Elle n'est belle et propre que dans le subconscient de ceux qui ne veulent pas se rendre à l'évidence. Il faut par ailleurs préciser que les cas les précités ne sont que la partie émergée de l'iceberg