-Baraki : Cybers au nombre réduit Sur 5 cybers, 2 seulement sont opérationnels à la ville de Baraki qui abrite près de 100 000 habitants. Les usagers de cet outil informatique se plaignent de ce nombre réduit d'espaces de communication. Près de la place publique, se trouve l'un des plus anciens cybers ouverts en 2001. Un peu plus loin, se situe le second. Les internautes n'ont que ces deux espaces de navigation. Les plus accrocs à Internet se sentent vraiment lésés quant à la fermeture d'au moins 3 autres espaces situés au boulevard principal. Pour le gérant du cyber de la place, les perturbations récurrentes enregistrées l'an dernier à la connexion étaient en bonne partie derrière la fermeture de ces espaces. Au regard du second gérant, les problèmes liés à la maintenance des PC et matériel informatique pesaient énormément sur les prestations de ces espaces. -Hamammat : Route dangereuse Nombre de routes dans la capitale sont très mauvaises au point de rendre la circulation automobile dangereuse. L'usager qui emprunte la route du littoral ouest de capitale peut voir déraper son carrosse, à cause de gros cassis, notamment le long du tronçon routier depuis la Protection civile jusqu'à la station service de la commune de Hammamet. Ce tronçon de route gondolé, dû à un déplacement de sol, renseigne, si besoin est, sur les travaux de route viciés réalisés par le maître d'œuvre.Aussi, l'on remarque que sur la chaussée où l'enrobé est abîmé, le marquage au sol est effacé, voire inexistant, le colmatage mal exécuté, le sol fissuré ainsi que la présence d'ornières.Et passe des amoncellements de gravats sur le bas côté de la chaussée, crevasses, excavations et autres nids… d'autruche et dos d'âne non réglementaires qui parsèment nos routes. Un état des lieux qui interpelle les techniciens du département des travaux publics tant la dangerosité est manifeste.