Les travaux engagés pour l'aménagement de la rue Aïssat Idir perdurent et causent des ennuis aux badauds et autres automobilistes. Pour l'exemple, les gens qui doivent attendre les bus de l'Etusa en partance pour, entre autres, Bab Ezzouar et Bachedjarah doivent s'offrir des voltiges formidables pour ne pas être percutés par une voiture. Le trottoirs en réfection est barré par un vulgaire palissade. Déjà que cette partie réservée aux habitués n'est pas la mieux indiquée tant le manque de commodités est patent : aucun abribus ni banc ne sont disponibles. Même les chauffeurs de bus sont doublement assommés. Eviter d'heurter les citoyens souvent pressés de rejoindre l'intérieur du bus et les automobilistes qui circulent à toute vapeur sur cet axe en dépit de la présence de quelques policiers en faction. La place est devenue une foire d'empoigne. Aussi, les chauffeurs des bus appartenant aux privés se livrent-ils à une concurrence farouche pour « embarquer le client ». Aménager des stations dans de tels endroits n'est pas le mieux indiquer, s'insurgent des citoyens.