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Médéa après 18 heures : difficile de trouver un moyen de transport
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Publié dans El Watan le 17 - 06 - 2012

Au-delà de 18 heures, il est possible de faire le pied de grue au niveau de la gare routière du centre-ville de Médéa toute la soirée sans trouver un bus desservant les localités qui se trouvent à 10 km du chef-lieu de wilaya.
Les clandestins, bien au fait de cette situation qui date de plusieurs années, commencent déjà à investir l'endroit à 17h30 et à la criée. Ainsi, le prix du service pour la même distance par bus est multiplié par dix. A titre d'exemple, un déplacement vers Ouamri, Ouzera, Tizi El Mahdi ou Ben Chicao, qui se trouvent respectivement et approximativement à 15, 10, 25 et 20 km, coûte entre 200 et 500 DA, alors que par bus, la fourchette des prix proposés varie entre 15 et 30 DA. Faire de l'auto-stop comme solution palliative ne semble plus fonctionner comme avant. «C'est tout le monde qui a peur de tout le monde, et ils ont raison, vu la prolifération des actes d'agression», corroborent en chœur nos interlocuteurs.
Certains préfèrent alors faire de la marche à pied sur deux à trois kilomètres vers la sortie est ou ouest du centre-ville de Médéa où ils espèrent, en s'approchant plus de leurs villages, trouver une éventuelle connaissance véhiculée qui les rapproche de leur lieu d'habitation. «J'habite à Beni Aïch qui se trouve à plus de 4 km du chef-lieu de la daïra d'Ouzera, et figurez-vous que, déjà, à partir du centre-ville de Médéa, souvent je ne trouve pas de transport en commun après 18h ; arrivé à Ouzera, je dois continuer à pied si je ne trouve pas un voisin véhiculé qui puisse me ramener à ma bourgade», atteste un habitant de ce lieu isolé.
Au vu de l'anarchie qui caractérise le secteur du transport urbain et suburbain dans la wilaya de Médéa, une question se pose : y a-t-il une direction de transport capable de réguler ce service afin qu'il puisse répondre au minimum aux attentes des citoyens dans cette wilaya forte de ses 64 communes, étendue sur un large territoire à vocation rurale et où une proportion importante de la population travaille dans le chef-lieu de wilaya et même dans les wilayas limitrophes, ce qui présuppose déjà une dynamique de mouvement très intense ?


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