La cour de Relizane a réagi, hier, aux propos tenus par le militant des droits de l'homme, Mohamed Smaïn, décrivant «l'enfer» de l'univers carcéral. Dans un communiqué rendu public, elle estime que Mohamed Smaïn «tente de tromper l'opinion publique en exposant des informations non conformes à la réalité des établissements pénitentiaires». La cour de Relizane affirme que «Mohamed Smaïn était placé dans une salle où le nombre de prisonniers ne dépassait pas les dix» et que «la prison est dotée des services de cinq médecins généralistes, deux chirurgiens-dentistes et huit psychologues».