-Baraki et Aïn taya : vols récurrent de câbles Cela fait une semaine que les 420 habitants de la cité Benghazi, sis à Baraki, dont 54 professionnels, sont déconnectés du réseau Internet suite à des vols de câbles.«Nous n'avons eu droit ni à une réponse commerciale ni technique. Il y a uniquement les agents de sécurité qui peuvent vous répondre», nous dira un citoyen. «Nous n'avons ni lignes téléphoniques, ni fax, ni Internet sans que cela ne dérange outre mesure les responsables d'Algérie Telecom», se désole notre interlocuteur. Le même scénario s'est répété à à Aïn Taya. Des quartiers entiers sont privés de connexion Internet. Raison avancée par les services d'Algérie Telecom de Bordj El Bahri qui couvre ces localités : le vol de câbles électriques. Les services d'AT rechignent pourtant à rétablir la situation en dépit des sollicitations des abonnés privés de téléphonie fixe et d'Internet. Les habitants de la cité Sonacom (Deca Plage) ont déjà vécu cette situation déplaisante l'année dernière. Les agents de l'Actel n'ont rétabli la situation qu'après plusieurs mois. Plusieurs autres quartiers des communes d'Alger-Est vivent pareille situation depuis que les actes de vandalisme ont fait leur apparition.La vente de cuivre explique l'engouement de certaines bandes organisées, dont certaines ont été démantelées par les services de gendarmerie. -Bananiers (Mohammadia) : la polyclinique fermée La polyclinique de la cité Zerhouni Mokhtar (ex-Bananiers) à Mohammadia est toujours fermée. La cité est pourtant dépourvue de structures sanitaires pour une prise en charge des malades. Les résidents sont obligés d'aller dans les dispensaires des localités limitrophes, telles que Bordj El Kiffan, Bab Ezzouar ou El Harrach. Malgré les multiples démarches entreprises auprès des autorités compétents afin d'ouvrir la polyclinique, cette dernière reste fermée à ce jour. -El Megharia : l'Etusa se fait attendre Les agents de l'Etusa rechignent à passer par des quartiers d'El Megharia. Les dessertes de l'ex-Rsta se font de plus en plus rares sur ce tronçon. Depuis la réalisation du tramway, les bus de l'Etusa ne daignent plus passer par la station du Caroubier et de la Glacière. Les nouveaux changements d'horaires n'ont fait qu'empirer la situation.