Après le démenti envoyé par M N.Boukharouba, disant qu'il n'a jamais envoyé une contribution à El watan, nous voulons apporté ces précisions aux lecteurs et à M Boukharouba, pour qu'il ne nous accuse pas d'avoir fait dans la manipulation. Omar Aktouf : «Une mésaventure due au Net» Le texte de M. Boukharouba était un échange privé entre lui et moi. Je ne sais par quel mécanisme ou mésaventure des envois via internet, son texte s'est retrouvé comme «contribution» officielle. J'en ai moi-même été surpris vu que mon collègue de Guelma m'avait bien précisé qu'il ne souhaitait ni en faire un article public ni une «réaction» sur le site internet. Je tiens à m'en excuser le plus humblement et le plus sincèrement auprès de mon collègue, M. Boukharouba, si par quelque hasard d'un envoi à des correspondants, il s'est trouvé une voie quelconque qui a conduit ce texte jusqu'à devenir une «contribution» publique. Ensuite, je serai tout à fait reconnaissant à El Watan s'il pouvait, d'une manière ou d'une autre, rétablir ces faits. Enfin, M. Boukharouba, si cela peut vous rassurer quant à ma bonne foi : il m'est aussi arrivé (les voies mystérieuses du Net) de voir de mes textes «privés» circuler en large public et de plus je ne connais nullement et aucunement les personnes mentionnées par vous en «cc». Omar Aktouf, Ph. D. Professeur titulaire en management à HEC Montréal
N. Boukharouba : «Je n'ai pas dénigré…» Quelle ne fut ma surprise d'apprendre que j'aurais écrit une contribution, publiée par votre journal, El Watan ! Il y en a qui vont jusqu'à y reconnaître M. Rebrab de Cevital, homme d'affaires que je ne connais guère sinon par les journaux. Celui-ci est malheureusement tombé dans le piège tendu par certains, qui lui veulent du tort, en alimentant le moulin de la diffamation par son empressement à répondre publiquement et dans le détail à ces provocations honteuses dont je suis innocent, sans en vérifier la véracité. Je tiens à lui confirmer qu'il n'a jamais été dans mes pensées et qu'il n'est pas dans mon caractère de dénigrer qui que ce soit en public, fut-il le simple mendiant du coin ou bien même le capitaine d'industrie local. C'est une simple question de morale et d'éducation. Professeur N. Boukharouba
NOTE DE LA REDACTION D'EL WATAN La rédaction du journal précise qu'elle n'est nullement responsable des mésaventures des correspondances par mail et qu'elle a publié in extenso l'article de M. Boukharouba (avec les allusions à M. Rebrab) dans le dossier du 19 et 26 juillet 2012 (pages Idées- Débats) consacré au «néolibéralisme et au tout-Etat» en Algérie, dossier dans lequel sont intervenus des experts et des hommes d'affaires réagissant à une contribution du professeur Omar Aktouf s'élevant contre «la nouvelle pensée dominante» en Algérie qui est le néolibéralisme. C'est par la boîte mail de M. Aktouf que l'article de M. Boukharouba (qui épouse les mêmes thèses) a atterri à la rédaction d'El Watan, qui l'a considéré tout naturellement comme une contribution publique au débat lequel vient d'être enrichie par un article de Taïeb Hafsi, professeur, expert, auteur d'un biographie de Issad Rebrab.