Le marché s'est maintenu à un bon niveau durant février avec un volume estimé à 12 000 facturations toutes marques confondues, ce qui laisse présager une année meilleure par rapport à 2005 si le rythme se stabilise, à moins que l'épuisement des stocks des véhicules de moins de trois années en stand by sur le marché du VO donne un second souffle à la reprise après le salon, car n'oublions pas que cet événement se caractérise par des promotions déclinées par la majorité des marques qui essayent d'attirer et de séduire les clients par tous les moyens chacune dans son style propre pour faire le plein en volume des ventes. Février a vu encore une fois Hyundai se maintenir en tête avec un volume en régression par rapport à janvier, soit 1792 facturations dont 602 Atos et 680 Accent, un volume cumulé de 3803 pour une pénétration de 16,48 %. Toyota arrive en seconde position avec 1519, dont 811 pick-up Hilux et surtout 218 Corolla, soit un volume de 3235 et 14,02 % en pénétration. Renault termine le mois de février presque au même niveau que janvier, soit un volume de 1254 VN, dont 423 Clio Classic et 354 Modus qui démarre sa carrière sur le marché algérien. Ce qui permet à la marque au losange de se maintenir en 3e position avec un volume total de 2639 et une pénétration de 11,43 %. En 4e position arrive la marque au lion Peugeot qui redresse ses volumes en réalisant 1361 VN, dont 541 en 206 et 221 en 307, soit une pénétration cumulée de 9,88 % pour un volume de 2281 véhicules. Le reste des marques arrivent plus derrière ce groupe avec de grandes ambitions de figurer dans le top ten, selon des objectifs déjà fixés et que chacun s'attellera à réaliser dans le courant de l'année, tout en sachant que le coup de starter a été donné en janvier et février, avec, en mars, un salon de l'automobile riche en événements produits grâce au show des nouveautés, mais il y avait surtout un programme promotionnel diversifié avec au menu des remises à séduire le plus réticent des clients qui ont eu à cœur de faire la bonne affaire malgré l'absence d'innovation de certaines agences de communication dans la recherche des accroches.