Le président-directeur général de l'Agence foncière d'Oran a été condamné, jeudi dernier, à deux ans de prison ferme par le tribunal de première instance d'Es Senia, a-t-on appris de source fiable. Le mis en cause était poursuivi pour «abus d'autorité». A l'audience, le plaignant a déclaré «que ce P-DG a usé de son autorité pour le déposséder d'un lot terrain acquis légalement auprès de l'Agence foncière de la wilaya d'Oran», en estimant qu'il «s'est vu punir du fait qu'il avait témoigné contre lui dans un autre procès l'opposant à un autre citoyen qu'il aurait ‘‘menacé avec une arme''». De son côté, l'accusé a réfuté toutes ces accusations. Il faut savoir que ce verdict n'est pas définitif. Que fait l'APC de Staouéli ?
Depuis huit mois environ, des égouts ont éclaté juste à côté de la direction générale de la BDL à Staouéli. Les eaux puantes qui s'en dégagent éclaboussent les piétons si ces derniers ont la malchance de passer par là en même temps qu'un véhicule. Les APC sont tenues de régler ce genre de petites tracasseries, c'est le minimum qui est attendu d'elles. Pourquoi celle de Staouéli ne réagit pas, alors que l'une de ses principales missions est de veiller au respect de l'hygiène de la ville ?
77e anniversaire de l'école El Khaldounia de Chlef
La famille et les anciens élèves de l'érudit Cheikh Sidi Djilali Atba Ben Atba ont organisé, dimanche, une veillée commémorative à l'occasion du 77e anniversaire de la création de l'école El Falah de Chlef (actuellement El Khaldounia). Les intervenants ont tracé le parcours de Cheikh Sidi Djilali Atba Ben Atba, en affirmant que celui-ci est le fondateur de l'école El Falah, plus connue sous le nom d'El Khaldounia, et ce, le 14 octobre 1935 à El Asnam (aujourd'hui Chlef). D'après eux, cet établissement est le premier du genre créé dans le monde arabe à l'époque. Il a formé des imams et d'éminents professeurs, sous la conduite de l'érudit Si Djilali. Un colloque sur la Révolution algérienne
L'université du 20- Août de Skikda abritera demain et après-demain le 7e colloque sur la révolution algérienne, consacré cette année aux «écrits arabes et étrangers» sur la lutte d'indépendance, a-t-on appris des organisateurs. Des chercheurs universitaires algériens, français, égyptiens et tunisiens prendront part à cette rencontre destinée à faire le point sur les échos de la révolution algérienne à travers le monde et dans les écrits d'auteurs étrangers. La rencontre vise également à encourager et à relancer les recherches dans le domaine de l'histoire contemporaine de l'Algérie, en jetant des passerelles avec les chercheurs internationaux qui se spécialisent sur l'Algérie.