-Accidents de la route : décès d'un Octogénaire Une personne est décédée et 88 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation recensés par la Protection civile durant la période allant du 28 octobre au 3 novembre. La personne décédée est un homme âgé de 82 ans, percuté le 31 octobre par un jeune de 19 ans à Dar Diaf, dans la commune de Chéraga. Les sapeurs-pompiers ont effectué pas moins de 1 416 interventions durant la même période, ayant permis de secourir 698 personnes. -Aïn Allah : route Dégradée La route du carrefour de Aïn Allah, dans la commune de Dély Ibrahim, s'est gravement dégradée. Les automobilistes devront faire preuve de beaucoup de prudence pour traverser plusieurs parties de cette route, vu son état actuel qui constitue un véritable danger pour la circulation routière. Visiblement, c'est la terre boueuse sur laquelle cette route a été réalisée qui est à l'origine du problème. Des travaux de maintenance sont plus que nécessaires. -Aïn Nâadja : nécessité d'aménager une trémie Le carrefour situé à hauteur du lieudit «les Citronniers» est un véritable point noir de la circulation pour les automobilistes en provenance de Birkhadem ou de Kouba. Aux heures de pointe, de longues files de véhicules se constituent dans les deux sens. Malgré la présence permanente d'agents de police chargés de réglementer la circulation, la tâche demeure ardue. D'après un cadre résidant la localité de Aïn Nâadja, aucune alternative n'est proposée aux usagers contraints de transiter par l'incontournable carrefour des Citronniers. Le matin, toutes les issues sollicitées par les habitants de Aïn Naâdja pour rejoindre leur lieu de travail sont encombrées. Des bouchons inextricables se forment à proximité des intersections. En fin de journée, de retour chez eux, les conducteurs affrontent les mêmes désagréments. «L'aménagement d'une trémie au niveau du croisement des Citronniers s'avère des plus nécessaire. «Ces bouchons, véritable cauchemar des habitués de ce tronçon, ne seront qu'un vague souvenir si jamais les pouvoirs publics acceptent d'intégrer un tel projet au plan communal de développement», a observé M. Mahrez, ingénieur en génie civil, travaillant dans la localité.