Se prononçant sur les APC bloquées à la suite de différends politiques, le ministre de l'Intérieur a indiqué que celles-ci ont deux choix : « Soit trouver une solution à l'amiable, bien entendu avec l'implication de l'administration, soit nous procédons carrément à la nomination d'administrateurs pour la gestion des affaires courantes de ces communes bloquées. » Au niveau de la capitale, beaucoup d'APC connaissent des blocages. A titre d'exemple, on peut citer El Achour où le P/APC a été destitué d'une manière floue ; Aïn Bénian où c'est le secrétaire général qui gère les affaires courantes ; Sidi Moussa où le P/APC est en instance de jugement après qu'il a menacé de mort le premier vice-président. On peut citer aussi le cas de Dély Ibrahim où la plupart des élus ont retiré leur confiance au P/APC et enfin Réghaïa et Gué de Constantine qui connaissent le même problème.