-Lot El Qaîda à Bordj El Bahri : Route dégradée et absence d'éclairage Au quartier El Qaîda, dans la commune de Bordj El Bahri, l'état de la chaussée est tel qu'il devient périlleux pour les automobilistes de s'y aventurer. Des excavations et des trous béants ponctuent la route, rendant la circulation routière difficile. Pourtant, il s'agit d'une artère principale fréquentée par des milliers d'automobilistes, notamment les habitants du lotissement Ben Djaïda et ceux de la cité Cosider. «En cette saison hivernale, les eaux pluviales rendent par endroit le passage des automobiles impossible», déplorent des résidants de la cité Cosider. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, cette situation n'a pas suscité auprès des responsables locaux un quelconque intérêt. En attendant que ces derniers se penchent sur la question, les automobilistes devront prendre leur mal en patience. Par ailleurs, cette artère principale est dépourvue d'éclairage public, ce qui rend les déplacements difficiles. Signalons que d'autres routes de la commune connaissent la même dégradation, notamment à Alger- Plage. -Marché de voitures d'El Harrach : La circulation encombrée les vendredis Le marché hebdomadaire de voitures d'El Harrach pose toujours problème, particulièrement pour les habitants des lotissements se trouvant aux abords du marché et aux ambulances qui trouvent d'énormes difficultés à rejoindre l'hôpital Z'mirli. Cette situation est due à l'importante congestion routière causée par le stationnement anarchique des vendeurs de voitures. Les ambulances qui transportent des malades peinent à se frayer un chemin entre les files de voitures qui se forment sur plusieurs kilomètres. Les autorités locales avaient récemment pris des dispositions qui ont facilité pour une certaine durée le déplacement des ambulances et des bus de transport en commun. Cependant, l'incivisme des propriétaires de voitures crée une congestion permanente.