-Sahara occidental : Le représentant du Front Polisario auprès des Nations unies, Ahmed Boukhari, a demandé à la commission de décolonisation l'envoi d'une commission d'enquête au Sahara occidental. M. Boukhari a réitéré, dans son intervention, lors de la réunion de juin de la commission de décolonisation, la demande du Front Polisario relative à l'envoi d'une commission d'enquête au Sahara occidental, a indiqué l'Agence de presse sahraouie (SPS). Le représentant du Polisario a précisé que «le meilleur moyen de concrétiser cette démarche est d'aller directement sur le terrain», assurant que l'Assemblée générale et la commission de décolonisation sont comptables de son aboutissement. -Bénin : L'Algérie prendra part à une réunion des partenaires pour le financement du développement du Bénin, qui se tient à Paris (France), indiquait hier un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le secrétaire général du MAE, Abdelhamid Senouci Bereksi, représentera l'Algérie à cette réunion organisée par le gouvernement béninois et qui verra la participation de représentants de plusieurs pays et institutions internationales ainsi que des partenaires privés. Cette rencontre constitue un cadre d'échange sur les opportunités de financement des projets de développement présentés par le gouvernement béninois. -Ukraine : Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié hier de «nouveau crime des forces ukrainiennes» la mort d'un journaliste russe dans l'est de l'Ukraine et a demandé qu'une enquête soit menée par les autorités de Kiev. «Nous exigeons des autorités ukrainiennes une enquête objective sur cette tragédie, et qu'elles punissent sévèrement les coupables», a déclaré le ministère russe dans un communiqué. «Nous attendons des médias du monde entier qu'ils condamnent résolument et sans équivoque ce nouveau crime des forces ukrainiennes», a ajouté la diplomatie russe. -Kenya : Une cinquantaine de Kényans sont portés disparus après des attentats meurtriers perpétrés près de la côte touristique du pays ces derniers jours, a indiqué hier la Croix-Rouge locale. «Les 52 personnes portées disparues sont celles dont les proches ont dit être sans nouvelle», a déclaré un porte-parole de la Croix-Rouge kényane. Des dizaines d'habitants ont fui dans la brousse et la forêt après les attentats, perpétrés dimanche et lundi en pleine nuit, dans une région côtière proche de l'archipel touristique de Lamu. Ces attaques ont fait au moins 64 morts. Ces attentats ont été revendiqués par les islamistes somaliens shebab, liés à Al Qaîda, qui ont menacé le Kenya de nouvelles tueries.